Supprimé à la Révolution, il reprend ses activités fin XVIII{{e}} début XIX{{e}} siècle. Plusieurs fois reconstruit et démoli, les bâtiments existants sont classés au titre des monuments historiques<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA75050002 « Notice no PA75050002 », base Mérimée, ministère français de la Culture]</ref>.
Au milieu du XIX{{e}} siècle le collège est reconstruit par Théodore et [[Henri Labrouste]], frères d'Alexandre Labrouste, directeur du collège. Des classes préparatoires avait été installées dans les locaux de l'ancien [[collège de Rheims]], l'ensemble est revu par l'architecte [[Ernest Lheureux]], pour réunir le collège et l'école préparatoire, il propose un aménagement des voies, la [[rue de Rheims]] et la [[Rue du Four (5e)|rue du Four]], ainsi que la partie sud de la [[rue d'Écosse]] sont supprimées.
Le collège Sainte Barbe est bien listé sur les [[plans de Paris en 1760 et 1771]], en exercice en 1760 et sans exercice en 1771.
Lors de ses agrandissements le collège Sainte Barbe annexe les locaux de l'ancien [[collège de Rheims]].
Les bâtiments de l'ancien collège Sainte-Barbe servent actuellement de bibliothèque universitaire, la bibliothèque Sainte-Barbe.