Sylvie Hinault : Différence entre versions
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Sylvie Hinault, née le 4 février 1961 à Montreuil, Seine St-Denis | Sylvie Hinault, née le 4 février 1961 à Montreuil, Seine St-Denis | ||
| + | Pour moi, en premier la généalogie, c’était | ||
| − | + | Un patronyme, un physique, un caractère qui me ramène à ce nom avec qui je ne fais qu’un. | |
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Et voilà, je suis tombée dans la curiosité de vouloir connaître, savoir et comprendre pourquoi j’étais attirée par un coté familiale plus que par l’autre. | Et voilà, je suis tombée dans la curiosité de vouloir connaître, savoir et comprendre pourquoi j’étais attirée par un coté familiale plus que par l’autre. | ||
Donc, depuis l’âge de 14 ans, je suis consciente d’être la dernière de la lignée d’un patronyme que j’aime, dont je suis fière et qui me définit à part entière. | Donc, depuis l’âge de 14 ans, je suis consciente d’être la dernière de la lignée d’un patronyme que j’aime, dont je suis fière et qui me définit à part entière. | ||
Pourquoi un nom doit il s’éteindre parce qu’il n’y a plus d’hommes dans une famille ? alors qu’il a traversé des siècles, parfois en changeant d’orthographe et de phonétique. | Pourquoi un nom doit il s’éteindre parce qu’il n’y a plus d’hommes dans une famille ? alors qu’il a traversé des siècles, parfois en changeant d’orthographe et de phonétique. | ||
| − | Ainsi, très jeune je me suis sentie responsable de ce patronyme et de ce passé. J’ai voulu transmettre à mes descendants, la connaissance de ses racines en expliquant l’évolution de la famille. En plus d’une part d’un patrimoine génétique, j’ai malgré tout et contre tous, transmis ce NOM, même si je ne suis qu’une femme (la loi est d’ailleurs passée de mon coté 23 ans plus tard), et je ne le regrette pas, la lignée ne se terminera pas à moi, j’espère que mon fils transmettra lui aussi notre nom et notre identité. | + | Ainsi, très jeune je me suis sentie responsable de ce patronyme et de ce passé. J’ai voulu transmettre à mes descendants, la connaissance de ses racines en expliquant l’évolution de la famille. En plus d’une part d’un patrimoine génétique, j’ai malgré tout et contre tous, transmis ce NOM, même si je ne suis qu’une femme (la loi est d’ailleurs passée de mon coté 23 ans plus tard), et je ne le regrette pas, la lignée ne se terminera pas à moi, j’espère que mon fils transmettra lui aussi notre nom et notre identité. |
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| − | + | Et en second la généalogie est pour moi, une énigme policière jamais terminée, que l’on poursuit sans cesse, qui est dévorante et passionnante ! | |
C’est voyager dans le passé, remonter le temps, les époques, les siècles, se plonger dans l’histoire de France et sa politique, pour mieux comprendre la vie des ancêtres. | C’est voyager dans le passé, remonter le temps, les époques, les siècles, se plonger dans l’histoire de France et sa politique, pour mieux comprendre la vie des ancêtres. | ||
C’est découvrir des prénoms, des métiers, des coutumes. | C’est découvrir des prénoms, des métiers, des coutumes. | ||
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Parfois, c’est se trouver des points communs dans les évènements de la vie, avec ces aïeux qui ont forcement participés à la construction de notre personnalité. C’est également, par des actes notariés, avoir une idée de leur personnalité, quelques fois de leur physique. | Parfois, c’est se trouver des points communs dans les évènements de la vie, avec ces aïeux qui ont forcement participés à la construction de notre personnalité. C’est également, par des actes notariés, avoir une idée de leur personnalité, quelques fois de leur physique. | ||
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| + | Pour résumer : la généalogie c’est un loisir, un hobby, une passion ! | ||
Sylvie Hinault le 20 mai 2009 | Sylvie Hinault le 20 mai 2009 | ||
Version du 8 février 2012 à 19:50
Sylvie Hinault, née le 4 février 1961 à Montreuil, Seine St-Denis
Pour moi, en premier la généalogie, c’était
Un patronyme, un physique, un caractère qui me ramène à ce nom avec qui je ne fais qu’un. Et voilà, je suis tombée dans la curiosité de vouloir connaître, savoir et comprendre pourquoi j’étais attirée par un coté familiale plus que par l’autre. Donc, depuis l’âge de 14 ans, je suis consciente d’être la dernière de la lignée d’un patronyme que j’aime, dont je suis fière et qui me définit à part entière. Pourquoi un nom doit il s’éteindre parce qu’il n’y a plus d’hommes dans une famille ? alors qu’il a traversé des siècles, parfois en changeant d’orthographe et de phonétique. Ainsi, très jeune je me suis sentie responsable de ce patronyme et de ce passé. J’ai voulu transmettre à mes descendants, la connaissance de ses racines en expliquant l’évolution de la famille. En plus d’une part d’un patrimoine génétique, j’ai malgré tout et contre tous, transmis ce NOM, même si je ne suis qu’une femme (la loi est d’ailleurs passée de mon coté 23 ans plus tard), et je ne le regrette pas, la lignée ne se terminera pas à moi, j’espère que mon fils transmettra lui aussi notre nom et notre identité.
Et en second la généalogie est pour moi, une énigme policière jamais terminée, que l’on poursuit sans cesse, qui est dévorante et passionnante !
C’est voyager dans le passé, remonter le temps, les époques, les siècles, se plonger dans l’histoire de France et sa politique, pour mieux comprendre la vie des ancêtres.
C’est découvrir des prénoms, des métiers, des coutumes.
Parfois, c’est se trouver des points communs dans les évènements de la vie, avec ces aïeux qui ont forcement participés à la construction de notre personnalité. C’est également, par des actes notariés, avoir une idée de leur personnalité, quelques fois de leur physique.
Pour résumer : la généalogie c’est un loisir, un hobby, une passion !
Sylvie Hinault le 20 mai 2009
